Les charges critiques peuvent être modélisées selon des modèles dits « classiques », de façon empirique, ou selon des modèles dynamiques, basés sur la représentation des processus (Figure 5). Ces modèles ont besoin de différents types de données pour estimer les charges critiques, notamment pour les sols de données biotiques et environnementales, en plus des dépôts atmosphériques en soufre (S) et azote (N), et pour différents pas de temps (mensuels à moyenne sur plusieurs années).